Poitou, pays d'art roman.
Sous l'Ancien Régime, le Poitou, province étendue et riche en monuments,
couvrait à peu près ce qui a servi à constituer, lors de la Révolution française,
les départements de la Vienne, des Deux-Sèvres et de la Vendée.
Après avoir
commencé notre parcours de l'entité historique poitevine par
la Vienne romane et, réservant les Deux-Sèvres pour une évocation ultérieure,
nous porterons notre attention sur la présence romane en
Vendée.


Le prestige attaché aux édifices majeurs majeurs du Haut-Poitou, fruits d'une exceptionnelle fertilité créative, a contribué à maintenir dans l'ombre nombre de réalisations romanes du Bas-Poitou.
Il ne s'agit pas tant ici de revenir sur la primauté d'une partie du Poitou sur l'autre ; sans doute, la Vendée n'a-t-elle pas sur son sol les édifices les plus célèbres de la région ; de plus, aucune grande oeuvre architecturale romane vendéenne ne nous est parvenue dans son intégrité.
Il s'agit plutôt de rappeler la juste place que tient la Vendée, avec ses traits spécifiques ( édifices en partie romans, vestiges d'abbayes, sculptures, cryptes, fresques ) dans
l'art roman composite du Poitou.



La
Vendée départementale forme une terre de contrastes avec son Bocage aux roches cristallines, sa Plaine s'étendant sur des dépôts sédimentaires du secondaire, ses deux marais breton et poitevin conquis sur la mer et son littoral alignant dunes et plages.
Les profondes différences dans la nature du sol n'ont pas été sans influencer, tout à la fois, les paysages et l'art de bâtir. Le matériau n'a pas joué seulement sur le nombre des églises romanes, mais aussi sur leur forme et leur structure. Les assises granitiques donnent des roches dures engendrant une architecture sévère de formes et de couleur. Ce matériau résistant se prête beaucoup moins que le calcaire aux riches ornementations finement ciselées. Les batisseurs auront donc parfois recours à des importations de roches calcaires pour habiller d'un décor sculpté plus clair et plus ouvragé les sombres structures granitiques. Par suite, il ne faudra pas s'étonner de la différence de densité et de silhouette des édifices romans du
Bas-Poitou, compte-tenu de la nature des matériaux à la disposition des maîtres-d'oeuvre.
Entre la Plaine méridionale, profondément romane et poitevine plongeant ses racines dans l'histoire, et le pays bocager granitique, ultime soubresaut du massif Armoricain, ce sont les visages bien différenciés du Bas-Poitou que vous êtes invités à découvrir au fil des pages web suivantes.

Sur cette partie du
Bas-Poitou se côtoient de modestes édifices ruraux, plus ou moins mutilés ou ruinés et les grandes abbatiales de Maillezais et de Nieul-sur-l'Autize. Le prestige d'un monument ne doit pas faire oublier un milieu monumental d'où émergent les édifices romans de Benet, de Foussais-Payré et de Vouvant.
Les humbles monuments méritent tout autant de retenir l'attention que les plus célèbres, soit parce qu'ils ont pu ouvrir la route, soit à cause de la meilleure accessibilité de leur ornementation, par rapport à des réalisations majeures dont la structure et la décoration sont parfois difficilement perceptibles au regard humain du fait de leur position architecturale très élevée, soit, simplement parce
qu'ils sont également manifestation d'une même ferveur créatrice. Les vestiges des abbayes de la Grainetière ou de l'Ile Chauvet, les églises de la Chaize-le-Vicomte, de Mareuil-sur-Lay,
de Pouzauges-le-Vieux et les cryptes de Curzon et des Essarts méritent, ainsi, à plus d'un titre, de retenir l'attention.

Cette galerie photos entend modestement préparer la route en présentant les divers volets de l'art roman de Vendée ; il est bien entendu que c'est in situ que ces oeuvres doivent être vues. Par commodité, un regroupement géographique - critiquable - sera effectué en associant des édifices réputés mineurs à un édifice clé en raison de leur relative proximité géographique.

Ce travail d'évocation renvoie la recherche érudite aux spécialistes d'archéologie et historiens de l'art. Seule l'étude de leurs travaux peut restituer totalement la saveur de la richesse du patrimoine roman du Bas-Poitou. C'est donc tout naturellement que nous déclarons notre dette aux auteurs dont les oeuvres ont été notre guide.
( Les références sont en fin de site ).

LE BAS-POITOU ROMAN : LA VENDEE.
Angles, ses statues et ses chapiteaux.
Beauvoir, Sallertaines, des éléments romans près du littoral nord.
Belleville-sur-Vie et son porche, Les Essarts et sa crypte.
Benet, une grande façade sculptée.
Bois de Céné, son abbaye de l'île Chauvet.
Brem-sur-Mer et La Chaize - Giraud, deux églises dédiées à saint Nicolas.
La Chaize-le-Vicomte,
une église à découvrir.
Curzon et sa très belle crypte.
Fontaines/Chaix/Montreuil : quelques églises rurales de la Plaine et du marais poitevin.
Abbaye des Fontenelles ( Saint-André d'Ornay, La Roche-sur-Yon ).
Foussais-Payré, un des grands ensembles sculptés du Bas-Poitou.
La Grainetière : d'une remise en valeur à une vocation monastique
renouée au coeur du Haut Bocage.

Chassais-Grammont : l'un des prieurés grandmontains
les mieux conservés de France ( Commune de Saint-Prouant ).

Maillé : une façade attachante.
Maillezais : l'abbaye-cathédrale et l'église saint-Nicolas.
Mareuil-sur-Lay-Dissais :
la pureté d'un chevet.
Nieul-sur-l'Autise :
un ensemble monastique de charme en Bas-Poitou.
Oulmes : colonnes et chapiteaux.
Pouillé / Sérigné : des témoignages romans entre Plaine et Bocage.
Pouzauges-le-Vieux et ses fresques murales.
Saint-Michel-le-Cloucq et Saint-Hilaire-des-Loges,
deux touchantes églises en bordure de forêt.
Saint-Pierre-le-Vieux ( Chalais ) et Velluire : des absides romanes.
Saint-Michel-en-l'Herm et les vestiges de son abbaye.
Vouvant, un édifice majeur du Bas-Poitou roman.

Le message des pierres romanes :
des hommes ... et de Dieu.


Le patrimoine roman, interrogé dans son profond silence, constitue un riche
document d'histoire
. En 2005, une exposition au Musée du Louvre ( 9 mars-
6 juin ) a ainsi entrepris de célébrer " la France romane ". D
anielle Gaborit-
Chopin et Jean-René Gaborit
, commissaires de l'exposition, mettent en avant
l'éclectisme des artistes de l'époque qui proposent des solutions différentes
pouvant " aboutir à un chef-d'oeuvre comme à une impasse ".
Les édifices romans, s'ils ont tendance à devenir un domaine réservé aux
historiens de l'art, furent un jour l'
expression d'une jaillissante manifestation
de vie
. L'approche et la lecture des oeuvres romanes, telles qu'elles peuvent
être faites aujourd'hui, diffèrent totalement de ce que pouvaient en faire jadis
leurs maîtres d'oeuvre. Au-delà des strictes considérations techniques, c'est
dans la conception même de l'art que s'opposent les hommes du XXIe siècle
et ceux du Moyen Age
. On sait que l'art est un type d'activité humaine faisant
appel à certaines facultés sensorielles, esthétiques et intellectuelles.
L'architecture, la sculpture, la peinture et la musique sont ainsi autant de
modes d'expression de la beauté. A la limite, l'art pour l'art porte en lui sa
propre justification. En ce cas l'art devient une sorte de langage en soi.

A l'époque romane, les ornements, par-delà leur valeur décorative, avaient-
ils aussi une dimension éducative ?
Pour certaines formes décoratives,
tels les ornements géométriques, la réponse est sans doute assez simple ;
il ne convient pas de leur attribuer de sens caché. Il peut en être différemment
pour les masques humains ou les représentations animalières et mons-
trueuses. S'ils ont un rôle esthétique, ces décors ne sont-ils pas aussi parfois
chargés de symboles directs ou indirects ? Sur ce point, le débat entre
spécialistes est probablement loin d'être épuisé. Il semble, cependant,
qu'une double dimension ornementale et éducative puisse être largement
reconnue à certaines thématiques romanes. Ainsi, l'imaginaire médiéval est
peuplé de monstres dont certains organes sont multipliés ou hypertrophiés.
Les représentations monstrueuses proviennent d'un mélange des genres
( humain et végétal, par exemple ) ou s'obtiennent par hybridation, soit
figurations animales ou monstrueuses à figure ou tronc humain ( corps
d'oiseau à tête humaine ou corps de poisson et torse de femme, par exemple ),
soit personnages à visage animal. D'une façon générale, il semble qu'on ait
désiré mettre en avant
la crainte que doivent inspirer les forces du mal.
Par son apparence monstrueuse le démon est susceptible d'inspirer l'effroi
chez les populations ; l'emprunt aux arts orientaux des formes matérielles
les plus horribles participe vraisemblablement de cette volonté. Bien
souvent, le sens général, s'il existe, demeure vague ou obscur. Il restera
toujours difficile de cerner en toute certitude la part qu'il faut attribuer à
l'ornementation ou au symbolisme. Il est sûr que des transferts de symboles
par copie ou par libre interprétation d'objets venus d'Orient vers l'art paléo-
chrétien, préroman et roman ont eu lieu. Mais, dans quelle mesure aussi
ces figurations étranges, une fois empruntées, étaient-elles considérées à
titre décoratif ? Le réalisme n'est pas la caractéristique majeure de ces
réalisations largement indifférentes à toute idée de proportionnalité.
La dimension des représentations animalières et humaines est à la mesure
de leur poids symbolique. C'est ce qui donne probablement la clé de lecture
de l'exagération constatée de certaines parties du corps comme les mains ou
le masque. C'est délibérément que ces éléments signifiants ont été accentués.

A l'époque romane, il est permis de penser que l'art était perçu plutôt comme
significatif de réalités célestes qu'il pouvait permettre d'atteindre. Avant de
s'ouvrir au profane, cet art avait une essence religieuse ; il est envisagé avant
tout en tant qu'oeuvre pour Dieu ; c'est une consécration de l'activité humaine
à la louange de Dieu et au culte divin. Afin de rendre grâce à Dieu, abbayes,
prieurés et églises paroissiales investissent dans la pierre ;
l'époque bâtit,
sculpte et peint en vue du Ciel.

Sans doute a-t-on pu avancer des hypothèses très différentes pour expliquer
le mouvement religieux médiéval : pour les uns, la crainte de l'avenir, la peur
de l'an mille qui n'est pas encore éloignée, les luttes féodales, la recherche
de la sécurité matérielle, le poids institutionnel de l'Eglise, mais aussi,
pour d'autres, le désir de servir Dieu. C'est dans cette dernière perspective
que l'on a pu dire qu'un " élan de foi " animait les hommes de métier à l'origine
de ces édifices romans les plus grandioses comme les plus humbles.
Georges
Duby
, dans Le temps des cathédrales écrit qu'à l'époque romane l'art n'a
" d'autre fonction que d'offrir à Dieu les richesses du monde visible ". La main
de ces anonymes - habités d'une fervente énergie créatrice - disposait du
pouvoir d'insuffler l'esprit à la matière brute et de la transfigurer. A ce titre,
les monuments romans témoignent encore de la prégnance du sacré, bref,
de l'idéal qui présida à leur réalisation.Finalement, c'est à deux niveaux de
lecture que l'art roman doit être perçu (
Danielle Gaborit-Chopin, in
Le Monde,
Emmanuel de Roux, 17 mars 2005 ) : " un accès immédiat pour le
plus grand nombre et un message caché qui s'adresse aux élites ", c'est-à-
dire à la fois leçon donnée au peuple chrétien et message destiné au petit
nombre d'hommes et de femmes cultivés à la recherche de la pureté. Aussi,
on ne peut pas quitter ce patrimoine qui a traversé la nuit des temps sans
une certaine émotion. Ces pierres qui furent le témoin de tant de ferveur et
de joies, mais aussi de tant d'épreuves et de souffrances, portent encore
les stigmates de l'histoire ; n'ont-elles pas été laissées à l'abandon par
ceux-là mêmes à qui elles étaient destinées : les hommes ?
De nos jours, seule demeure la beauté de la pierre métamorphosée par
la main de l'homme
. Architecture, sculpture, peinture - qui ont plus ou
moins bien résisté à l'épreuve du temps - s'offrent alors en elles-mêmes
et pour elles-mêmes au regard des hommes sensibles à une certaine forme
de beauté. Ceux d'aujourd'hui, admirateurs des vieilles pierres, pensent
les sortir de la chape de silence qui pèse sur elles en les réhabilitant pour
le plus grand plaisir du visiteur qui sait être attentif à ce qui l'entoure.

Cependant, au-delà de cette pure recherche esthétique, huit siècles
après, des oeuvres romanes peuvent encore toucher plus profondément
la sensibilité de l'homme contemporain qui accepterait de prendre toute
la mesure pleine et entière du message des pierres romanes.
La mémoire des pierres exprime comment une partie de l'humanité
s'est un temps définie avec ses problèmes, sa façon de voir et ses
tentatives de se perfectionner elle-même ainsi que le monde dans lequel
elle se situait
. Ce qu'elle relate de l'homme, recevable ou critiquable dans
un autre contexte spatio-temporel, reste une manière de dire l'homme à
l'homme. L'art dévoile, par là-même le tréfonds de l'être humain. Dans
cette perspective, la mémoire des pierres permet ainsi de saisir le passé
sans souci de prosélytisme.

Mais si l'art s'efforce d'exprimer la condition de l'homme, ne peut-il pas aussi,
à sa manière, être
invitation, pour certains, à quête et recherche de sens ?
En cela il pourrait être chemin vers l'Absolu. On rejoint ici la finalité
d'associations comme
arts, culture et foi ou patrimoine, culture et foi qui
entendent exprimer le lien existant entre beauté, humanité et spiritualité.
Selon cette approche et cette lecture, la création artistique de l'époque
romane, à l'instar d'autres manifestations artistiques, pourrait être
invitation à la production de sens.
Dans cette perspective, il n'est pas exclu que certains puissent tirer
parti de la valeur spirituelle d'un édifice de pierre rencontré au détour
d'un chemin ou au coeur de la cité.
Au-delà de la seule dimension artistique de ces voûtes séculaires,
de ces portails et chapiteaux historiés, la sérénité qui se dégage de ces
édifices ne pourrait-elle pas aiguillonner encore la sensibilité de
l'homme contemporain qui saurait s'arrêter de courir et faire silence
en soi-même ? Ainsi, le contact avec les pierres romanes,
transfigurées par le ciseau ou le pinceau, pourrait favoriser un bénéfique
retour sur soi et impulser un regard nouveau sur l'aventure de vivre.
Bien sûr, et c'est une différence fondamentale avec le Moyen Age, il n'est
reconnu, dans les sociétés contemporaines, à aucune conception
philosophiqque ou religieuse le monopole du sens. L'homme occidental
actuel mène sa vie dans une société sans lien institutionnel avec le monde
d'en haut ; il lui reste, cependant, à construire sa vie en choisissant son
itinéraire.
Et si une leçon des pierres romanes, par l'alliance de la beauté
et de la sérénité, était aussi de stimuler le regard qui cherche ?

Quoi qu'il en soit, ce
patrimoine roman restera le fruit d'hommes de
métier, en même temps qu'oeuvre de toute une population anonyme dont
la mémoire des pierres rendra toujours présente à nos modernes esprits
son âme collective.

POUR ALLER PLUS LOIN


Repères bibliographiques

ARRIGNON Claude et RENAUD Joseph - Patrimoine religieux en Vendée,
éditions Siloë, La Roche-sur-Yon, 2003.
BELSER Christophe et ALCADE André - Vendée. Richesses à découvrir, Editions
Patrimoines et Médias, Prahecq ( 79 ), 2004.
BLANC Anne et robert - Les symboles de l'art roman, Editions du Rocher, 2004.
BLANC Anne et Robert - Monstres, Sirènes et Centaures. Symboles de l'art roman,
Editions du Rocher, 2006.
BRESSON Gilles - Abbayes et prieurés de Vendée, Editions d'Orbestier,
Le Chateau d'Olonne, 2005.
COIRIER Michel - Abbaye royale de Nieul-sur-l'Autise. Guide d'histoire et de visite,
Editions d'Orbestier, Le Chateau d'Olonne, 2002.
CROZET René - L'art roman, Quadrige, 1996.
CROZET René - L'art roman en Poitou, Henri Laurens éditeur, 1948.
CROZET René - Eglises de la Vienne, Nouvelles Editions Latines, sans date.
CROZET René - La Vienne touristique, Nouvelles Editions Latines, sans date.
DELHOMMEAU Louis - Abbaye Notre-Dame de la Grainetière, sans date.
DELHOMMEAU Louis - Eglise Saint-Nicolas, La Chaize-le-Vicomte, sans date.
DIMIER A. et SURCHAMP A. - L'art cistercien, Collection " La nuit des temps ",
Zodiaque, 1962.
DUBY Georges - Le temps des cathédrales, Gallimard, 1976.
EYGUN François - Art des pays d'ouest, Arthaud, 1965.
GABORIT-CHOPIN Danielle in Emmanuel de ROUX - " L'art roman,
ou l'efflorescence d'un monde nouveau ", Le Monde 17 mars 2005.
GRANDMAISON Henri ( de ) - Vendée. Le pays que j'aime, Editions Sud-Ouest,
2004.
LE GOFF Jacques et TRUONG Nicolas - Une histoire du corps au
Moyen Age, Editions Liana Levi, 2003.
LE ROUX Hubert - Poitiers pas à pas. Son histoire à travers ses rues,
ses places, ses monuments, ses hommes célèbres, Editions Horvath, 1993
LEVESQUE Richard - Notre-Dame de Vouvant, sans date.
OURSEL Raymond - Haut-Poitou Roman, Collection " La nuit des temps ",
Zodiaque, 1975.
LE GOFF Emmanuelle, PAIN Armelle et FORESTIER Carine - Le patrimoine
des communes de la Vienne - tomes 1 et 2, Flohic éditions, Paris, 2002.
SEMUR François - Abbayes, prieurés et commanderies de l'ancienne
France ( vers IVe siècle - vers XVIIIe siècle ), Poitou-Charente-Vendée, 1984.

Sites internet

www.art-roman.net/index.htm
Site sur l'art roman qui a pour ambition de faire découvrir, région par région, les principales églises romanes de France, puis d'Europe.

www.art-roman.net/poitou/poitou.htm
Le Poitou roman.

www.cister.net
Le web des abbayes et sites cisterciens d'Europe.

www.louvre.fr/archives/romane/index_artroman.html
La France romane au temps des premiers Capetiens ( 987 - 1152 ) : exposition au Louvre du 10 mars au 6 juin 2005.

www.msh.univ-poitiers.fr/cesm/
Site du Centre d'Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale.

www.paroles-et-patrimoine.org/romanes/liens.htm
Pierres romanes. Pour l'art roman.

www.romanes.com
Site dont le but est de présenter le patrimoine religieux et architectural de France à travers les différentes époques et courants du roman au gothique en mettant en avant leur expression.

www.vendee-romane.com/vendee/index.html
Essais sur une interprétation des chapiteaux et modillons.
L'auteur a fait un travail de recherche méritoire.

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