De nos jours, c'est sous forme de
girouettes
que les sirènes font toujours partie du paysage épinerin comme d'ailleurs de celui de l'ensemble de l'île.
E
En prenant le large de l'imaginaire.
Toute île a sa part de mystère : l'océan qui l'environne en devient transfiguré. La pointe du Devin est un des hauts-lieux fantastiques de l'île.
La tradition orale rapporte les propos d'une sirène : " l'île périra par le feu ou par l'eau ".
Les conteurs du
Gabion n'ont pas manqué d'évoquer les créatures chimériques que sont ces " belles brunes avec des écailles en or longues comme le doigt " ( D'après Eva Pénisson, 1992, p.14 ).