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Poitiers, au gré des flâneries
Poitiers, au gré des flâneries
  • © Décembre 2023 joël jalladeau Courriel 0

Poitiers, au gré des flâneries

La Grand'Rue
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A droite la Grand'Rue sur la partie orientale du promontoire en perspective depuis le
site des Dunes.


Du Clain elle monte en sinuant vers Notre-Dame-la- Grande.



Vue partielle de la Grand'Rue, voie relativement étroite, bordée d'habitations à colombages et d'hôtels particuliers.
C'est une des plus longues et des plus anciennes de la ville :
cet accès était l'une des deux principales voies de la cité gallo-romaine.



En haut de la rue, au n° 192, l'Hôtel Barbarin, fin du XVIe siècle ; un témoin de la Renaissance.
Par sa symétrie et sa régularité, ses lignes horizontales et verticales, ses grandes fenêtres elle se différencie des façades des maisons médiévales.




Sous les baies la devise de la famille peut être observée :
nec spectaculaire nec menu, mediis tranquillus in undis
" Sans ambition ni crainte, j'évolue tranquille au milieu des eaux ".



184 Encore une habitation médiévale.


172 Maisons à pans de bois ; éléments en chêne et hourdis.


Au n° 159, hôtel du Grand Prieuré d'Aquitaine de l'Ordre de Malte, 1667.


Le portail est surmonté d'une corniche sculptée comportant une partie de son écu.
Au-dessus prend place une dalle rectangulaire précisant : " L'hôtel du grand prieur d'Aquitaine F.GILBERT DE VIEIBOURG ".


Vers le 154, un groupe de maisons à pans de bois.


Au 132, la façade d'une demeure du 1600 présente des masques étonnants aux fenêtres.




La porte d'entrée possède encore de vieilles pierres usées par les siècles.


Au n°118, un bel immeuble restauré, construit au XVe siècle : la Maison dite des " Trois - Clous ".


Au-dessus de la petite fenêtre du pignon trois grands clous peuvent être observés : ils seraient responsables de l'appellation de cette demeure depuis le XIXe siècle.


Une des gargouilles ornant le pignon.


Au-dessus de la fenêtre du premier étage on remarque les restes de l'écu aux fleurs de lys présenté par deux anges.


Trois types restaurés d'ouvertures.


A droite de la petite lucarne le regard est attiré par cette sculpture.


De nouveau quelques maisons anciennes à pans de bois.


Au 116 entrée de la rue des Minimes.
Au n° 102, Hôtel de Rochefort, XVIIe siècle.
Le
pavillon d'entrée s'ouvre sur la rue par une porte cochère…


… le logis principal est placé au milieu de la parcelle, entre cour et jardin.



102 Immeuble hébergeant les services de " Poitiers Nouvelle Aquitaine".


Au n° 96, Hôtel de Briey, restauré en 1875.
"Bel exemple de pastiche néo-Renaissance" témoignant, par son décor sculpté à l'identique, d'une connaissance de l'architecture de la fin du XVe et du début du XVIe s.


Porte ouvragée en anse de panier.


Le cul-de-lampe latéral gauche comporte un basilic mordant une grappe de raisins.


Détail de la chapelle édifiée vers 1880 dans un style évoquant le XVIe siècle.



Au 79, une façade très modifiée au cours du temps présente encore des lucarnes Renaissance à meneaux et frontons triangulaires.


Au bas de la rue, n° 36, maison ancienne avec ossature traditionnelle en chêne et hourdis.
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