L’EGLISE ABBATIALE : vues extérieures
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L'église abbatiale était un vaste édifice ; après incendie et destruction de deux travées de la nef le bâtiment, avec ses branches grossièrement égales, a quelque peu l'allure d'une croix grecque.
Hier, le site vu du Sud-Est.
( Carte postale ancienne, collection particulière ).
Aujourd'hui, la façade et le croisillon Nord de l'église abbatiale vus du Nord-Ouest.
( La partie herbeuse à l'extrême gauche du cliché correspondrait à l'ancien cimetière des moines ).
Façade Ouest de l'abbatiale : mur de 1622.
Avant sa destruction partielle la nef comportait deux travées supplémentaires détruites en 1562.
Porte d'entrée de l'église abbatiale après construction du mur de 1622.
La voûte de la nef - appareillée selon les modalités habituelles d'une croisée d'ogives - prise à travers la fenêtre de la façade.
Au-dessus de la petite baie se trouve une clé d'arc de l'édifice primitif.
Arcature aveugle ( murée ) du bras Nord du transept. Les moulures toriques reposent sur de fines colonnettes.
Les baies de l'abbatiale fines, et hautes sont encadrées de jolies colonnettes.
Du fait de leur ébrasement les fenêtres hautes permettent un bon éclairage de l'espace intérieur : exemple du transept Nord.
Les restes architecturaux sur les faces Nord et Ouest de l'édifice seraient les vestiges de solins des anciennes toitures à la pente supérieure aux nouvelles.
La souche du clocher s'élève ainsi à la croisée du transept.
Pauvreté architecturale du chevet qui se présente comme un véritable mur peu décoré.
Ce chevet plat est percé d'un ensemble de trois étroites baies jumelées ornées de colonnettes éclairant le volume à l'Est, début du XIIIe siècle.
Gros plan sur la décoration des chapiteaux des colonnettes du triplet.
Sous une face ou une autre de l’édifice on observe l’absence typique d’arcs-boutants. La voûte angevine rend possible un aménagement de l’espace intérieur de l’édifice sans nécessiter de modification de la structure des murs et sans changement de l’aspect extérieur du bâtiment.
Baie en arc brisé Sud du choeur et ses fines colonnettes supportant de petits chapiteaux toujours aussi sobrement décorés.
Le croisillon Sud disparu est prolongé par les bâtiments conventuels également largement ruinés.
Gros plan sur l'arc de séparation de la croisée du transept et du bras Sud.
Restes de la voûte du croisillon Sud effondrée en 1935.
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