CRYPTES EN SAINTONGE ROMANE
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✏︎ Eglise Saint-Eutrope, Saintes, Charente-Maritime.
La crypte de l’église Saint-Eutrope, monument religieux le plus ancien de Saintonge, est une des plus importantes et des plus belles de France.
De par ses dimensions la vaste crypte de la fin du XIe siècle, est appelée souvent église basse. Elle comporte trois vaisseaux couverts de voûtes d’arêtes, un déambulatoire et trois chapelles rayonnantes.
Au cours du temps, la crypte a fait l’objet plusieurs fois de comblements, puis de déblaiements. Le dernier remonte à 1843. Lors de ces travaux, des chapiteaux romans, bien dégradés, ont été refaits, comme d'autres avaient été déjà au XIIIe siècle. Cette re-création est considérée par les spécialistes comme si parfaite qu'il est parfois bien difficile de distinguer les chapiteaux du XIe siècle d'avec ceux du XIIIe ou du XIXe.
Vue d’ensemble de la crypte ou église basse.
Ce qui frappe au premier abord c’est la largeur inhabituelle de cette crypte.
Les voûtes sont supportées par de courts et puissants piliers.
Un bas-côté roman de la fin du XIe siècle avec sa série de chapiteaux sculptés.
Une saisissante forêt de colonnes. Derrière l'autel est placé le cénotaphe, où les restes de saint Eutrope reposent depuis le 18 octobre 1843. 
Le chœur de la crypte vu du cénotaphe.
Toutes les colonnes sont ornées de chapiteaux sculptés.
Chapiteaux avec volutes et palmettes.
Chapiteaux avec entrelacs et feuilles.
Seule représentation figurée à deux visages rompant avec le décor purement végétal des autres chapiteaux.
Les voûtes d'arêtes sont soutenues par des tores volumineux reposant sur des colonnes aux chapiteaux sculptés.
Le vaisseau central est séparé de ses collatéraux par des séries de piliers cruciformes trapus ayant reçu des colonnes engagées qui se trouvent directement au-dessous de ceux de l'église haute.
Piliers et colonnes reposent sur des supports différents.
Un type de support de colonnes.
Un autre type de base de colonnes.
Diversité des chapiteaux à décor de palmettes, de feuilles d’acanthes, de rinceaux.
Entrelacs et feuillages.
La large nef centrale est munie de bas-côtés.
Détail des corbeilles des colonnes précédentes de premier plan : un autre type de composition.
✏︎ Notre-Dame de Surgères, Charente-Maritime.
Sous le chevet de l’église du XIIe siècle les doubleaux de la voûte du grand cul-de-four de la crypte sont supportés par un seul pilier central composé de quatre pilastres.
La crypte est construite autour d’un pilier central.
Quatre gros arcs doubleaux surbaissés reposent sur un pilier central.
Quatre pilastres constituent le pilier central.
Quatre pilastres constituent le pilier central.
(On remarque sur les voûtes d'anciennes peintures remontant au XVIe siècle et restaurées ).
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