BARBÂTRE, clef des portes de l'île,
vue du ciel.
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La découverte de l'île se fait par deux accès :
- en permanence par le pont inauguré en 1971
- en fonction des horaires de marée par le gois.
La diversité de ses hameaux, ses immenses plages et le fameux gois sont ses principaux atouts.
Arrivée par le pont sur le territoire de Barbâtre, lieu de passage obligé.
La première pierre du pont long de 583 mètres a été posée le 12 mai 1969 à Fromentine et l'accès fut ouvert au trafic le 7 juillet 1971.
Barbâtre s'étend s'étend sur 7 km sur la partie la plus étroite de l'île. Le château d'eau de la Frandière qui culmine au-dessus des pins se repère de loin.
La commune déroule ses hameaux entre plages, forêt domaniale et terres agricoles.
Le moulin de la Fosse.
La Frandière : maison de pays édifiée en 1836.
A l'ouest, du côté de l'océan les hameaux s'abritent à l'abri des dunes ; à l'est, c'est la baie de Bourgneuf qui sépare l'île du continent.
Barbâtre en perspective d'ouest en est.
Le lotissement du Midi au premier plan et la Berche au fond à l'est.
A l'est l'étang du Vide si caractéristique….
… et le fameux passage du GOIS qui constitue une alternative d'exception au pont, deux fois par jour pendant 2 à 3 heures selon les coefficients de marée.
C'est une route submersible de 4,5 km de long qui relie l'île au continent à marée basse.
Montée inoubliable des flots submergeant progressivement la chaussée.
Spectacle assuré en fin de marée montante ; respectez les horaires de marée sinon vous ferez comme cet imprudent…qui a réussi à faire demi-tour !!! Le GOIS : chaussée submersible !!!
Vue du ciel la couleur sombre de la route submergée dispense de longs commentaires…
Une des balises à plate-forme jalonnant le gois ( gué ) servant de refuge.
A marée haute, seules les balises témoignent de la chaussée submergée.
Après une dernière balise la chaussée rejoint le continent.
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