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Le quartier de la cathédrale
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Vue générale du quartier avec au premier plan l'église Sainte-Radegonde et au second la cathédrale Saint-Pierre..jpg)
Devant le portail gothique flamboyant adapté sur le clocher-porche roman de Sainte-Radegonde prend place le parvis ouest, limité par son périmètre de murets de pierre de taille ( fin du XVe siècle) :c'est un exemple bien conservé de parvis de justice. .jpeg)
Cet espace fermé est entouré par un mur bas, dans lequel s’ouvrent quatre accès : simples ou doubles.
Entrée Nord-Ouest du parvis : lions sculptés accroupis sur le mur de clôture ainsi qu'un ange tenant l'écu de France.
Maison ancienne, n° 4 impasse Sainte-Radegonde.
Personnage insolite sur une façade, impasse Sainte-Radegonde.
Remploi sur la même habitation, impasse Sainte-Radegonde.
Demeure ancienne, n°17 rue du Carolus. Porte avec accolade.
Remploi à l'angle de la maison.
Dun° 23 rue du Pigeon-Blanc on perçoit le haut du clocher de l'église Sainte-Radegonde.
N°34 rue du Pigeon Blanc, belle demeure réhabilitée.
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Gros plan sur les personnages ornant la fenêtre du premier étage.
Rue Arthur-de-la-Mauvinière prend place une maison du XVe siècle dite " à pignon sur rue ". La fenêtre de l'étage est particulièrement soignée.
Une série de colonnes soutient le premier étage conservant ainsi une disposition originale ancienne.
Le décor surmontant la fenêtre du premier étage illustre la qualité et le soin avec lesquels les maisons étaient ornées à la fin du XVe et au début du XVIe siècle.
" Cellule " de Sainte-Radegonde.
Pierre sculptée conservée dans l'espace vert aux alentours de la cellule.
En montant de l'église Sainte-Radegonde vers la cathédrale le regard est attiré par des fleurs de lys sur une cheminée de la congrégation de l'Union Chrétienne de Saint Chaumond.…
Au n° 15 rue Barbatte, portail du XVe siècle de style gothique flamboyant donnant accès à un hôtel particulier.
Il est surmonté d'un arc en accolade comportant des petits animaux, des choux frisés…
Personnages malheureusement fort dégradés.
Porte bien conservée au n°6 rue Saint-Fortunat.
Une inscription est encore partiellement visible.
La cathédrale Saint-Pierre telle que le visiteur peut la voir avec ses trois portails de type gothique encadrés par deux tours.
L'entrée principale donnant accès au palais épiscopal est mise en valeur par un avant-corps plus élevé surmonté d'un fronton triangulaire portant la date :1868.
Ce qui était autrefois le palais épiscopal date du XVIIIe siècle. Des murs d'époque médiévale sont conservés en plusieurs endroits.
Place de la cathédrale et du cardinal Pie s'élève une demeure du XVe, transformée au XIX e dans un style néo-gothique ; elle conserve avec son toit à forte pente un caractère médiéval.
Collège dit des "Deux frères " Pierre et Nicholas de la Coussaye, chanoines de Luçon, qui ont fondé un collège pour les étudiants en 1503.
L'ornementation supérieure de la fenêtre gothique comporte une statuette de saint Pierre et l'inscription :" Tu es Petrus "( refait vers 1902).
Les deux culots - Satan et Urbain-Grandier -seraient une allusion, rappelle H. Le Roux, au changement de nom de la place Saint-Pierre en place Urbain-Grandier, en 1900, par une municipalité anticléricale.
A droite de la fenêtre du premier étage subsistent des fragments d'une baie romane ; ce seraient d'après les spécialistes, un des rares exemples conservés à Poitiers.
Figure de coq à l'angle de la rue de la cathédrale et de la rue Paschal-le-Coq.
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Représentations dans une niche en face de la précédente, à l'angle la rue de la cathédrale et de la rue Auguste-Emile Faguet.
Maison à pans de bois en cours de rénovation intérieure intégrale.
A l'emplacement de la maison actuelle était érigé un hôtel à l'enseigne de la Rose.
Jeanne d'Arc y séjournait tandis qu'elle était interrogée en mars 1429 par un collège de théologiens qui a reconnu sa mission.
Elle en partit pour aller délivrer Orléans assiégé par les Anglais.
Hôtel particulier du XVIIIe siècle.
Le logis principal et les deux ailes latérales s'ordonnent autour d'une cour accessible aux carrosses.
La façade du corps de logis principal est traitée avec régularité et symétrie, de part et d'autre d'un avant-corps légèrement en saillie, surmonté d'un fronton.
Hôtel Barbarin de Joussé au toit en forte pente encore en usage au XVIIe siècle.
Le portail et les deux ailes latérales ont été rajoutés ultérieurement.
La fenêtre centrale du premier étage mentionne la date de construction : 1677
Ancien hôtel particulier occupé par Emmaus.
La notice de présentation apposée par la ville précise : 
Façade donnant sur la rue.
Lucarne et élément sculpté.
Façade de l'ancien évêché.
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